Étampes, Ville relais de la Flamme Olympique

Pour préparer cet événement dans les règles de l’art, la Ville d’Étampes prévoit d’organiser de nombreuses animations tout à long de l’année, gardant cet événement comme fil conducteur. Un comité d’organisation a ainsi été créé, rassemblant des personnalités publiques et locales et des membres actifs du tissu associatif étampois.

Dans la soirée du 22 septembre 2023, soit 10 mois avant le jour J, une cérémonie d’officialisation du comité d’organisation s’est déroulée en présence de personnalités publiques et locales, des membres du Conseil Municipal, du président de la Communauté d’Agglomération de l’Étampois Sud-Essonne Johann Mittelhausser, du capitaine du centre de secours d’Étampes Renan-Emmanuel Galliot, des représentants de l’UCPA et de l’Île de loisirs et des membres d’associations étampoises. Cette réunion avait ainsi pour but de présenter les actions du Comité, ses objectifs et d’appeler à participer à cette belle opération, que ce soit en recrutant des bénévoles ou proposer et mettre en place des animations.

Le Comité a déjà commencé diverses actions, notamment le recrutement d’une quarantaine de bénévoles lors du Forum des Associations.

Pour les personnes souhaitant se joindre à l’aventure et devenir bénévoles, n’hésitez pas à remplir le bulletin d’inscription et le retourner par mail à : comiteorganisation.etampes@mairie-etampes.fr

Dans le cadre du passage de la Flamme Olympique le 22 juillet à Étampes, un large programme de sécurité sera mis en place pour assurer le bon déroulement de l’événement. Le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 demande effectivement un strict respect des normes de sécurité de la part des Villes Relais, notamment en matière de stationnement.

La commune mènera une campagne de sensibilisation pour mener à bien cette opération et appliquera une tolérance zéro. Des panneaux d’information seront apposés et des Info Municipales distribuées pour rappeler les zones interdites au stationnement.

Des interdictions de stationnement seront ainsi mises en place tout au long du parcours de la Flamme, à partir du mardi 16 juillet, à 8 h, au 22 juillet, à 11 h, entre le lieu de départ à l’Espace Louis-Blériot jusqu’à son lieu d’arrivée à l’Île de Loisirs.

Retrouvez le parcours de la Flamme Olympique en vidéo, ainsi que la liste des axes interdits au stationnement (en gris sur la carte au dos) sur le site : mairie-etampes.fr > Étampes, Ville Relais de la Flamme Olympique.

À partir du 19 juillet, les voitures stationnées sur les zones interdites seront enlevées et déplacées vers une fourrière provisoire qui sera créée sur le parking du centre E. Leclerc. Les personnes pourront récupérer leur voiture après le passage de la Flamme Olympique, dès le 22 juillet en fin de matinée. Pour cela, ils devront d’abord joindre la Police Municipale (voir n° en bas) et auront jusqu’au 23 juillet 14 h pour reprendre leur véhicule, avant qu’il ne soit envoyé à la fourrière de Monnerville.

Attention, certaines rues ne seront pas accessibles le 22 juillet, de 7 h à 9 h 45, notamment rues du Gamin qui Chante, de la Sauvette, de l’Échelle, Jean-Baptiste-Eynard, Allées du Docteur Bourgeois, des Lilas, Promenade de Guinette, rues de la Porte Dorée, de la Plâtrerie, Damoise, Saint-Mars, des Marionnettes…

Toutes les voies fermées à la circulation sur le parcours seront néanmoins accessibles aux piétons.

Les routes seront rouvertes 30 minutes après le passage de la Flamme.

Si possible, il est conseillé aux automobilistes de déplacer leur véhicule vers les quartiers qui ne seront pas impactés (Saint-Martin, Saint-Gilles, Petit-Saint-Mars, Saint-Pierre, Saint-Michel).

Emission Mag Essonne – Le passage de la Flamme Olympique à Etampes le 22 juillet 2024.

Invités :

• Quentin CASTANEDO, président d’Étampes Athlétisme.
• Christian PERRON, membre du Comité d’Organisation du passage de la Flamme Olympique à Étampes.

Emission Mag Essonne – Le projet de Fan Zone pour les JOP 2024 sur l’Île de loisirs d’Étampes.

Invités :

• Gérard HÉBERT, président du Syndicat Mixte de l’Île de Loisirs d’Étampes et Conseiller Régional d’Île-de-France.

Emission Foire de l’Essonne Verte 2024 – La Flamme Olympique à Étampes.

Invités – bénévoles au Comité d’Organisation du passage de la Flamme Olympique à Étampes :

• Chantal SANCHEZ.
• Yann KIMBIRIMA.

Né le 12 juin 1925 à Étampes, rue du Haut-Pavé, Daniel Rebiffé est un survivant des bombardements d’Étampes et un des rares qui peut encore témoigner de l’Histoire de notre commune. Toujours en forme à 98 ans, il évoque avec émotion ses souvenirs d’Étampes et son parcours sportif extraordinaire, qui l’a mené à intégrer la Garde Républicaine de Paris et à participer au relais de la flamme olympique des Jeux de Londres en 1948.

« Les Nazis avaient imposé à la Municipalité durant l’Occupation de faire faire du sport aux jeunes de 15 à 18 ans une fois par semaine au stade du Pont de Pierre. Je n’avais jamais mis les pieds sur un stade mais j’ai bien été obligé de faire du sport, comme tout le monde », explique-t-il.

Cette mesure poussa à la fusion de deux groupes sportifs qui entretenaient à l’époque une forte rivalité : l’Espérance Étampoise et Les Enfants de Guinette. Ce rassemblement donna ainsi naissance à l’Olympique d’Étampes, dont Daniel Rebiffé fut l’un des instigateurs avec notamment René-Jouanny, puis au C.O.M.E (Club Olympique Municipal d’Étampes). Cet organisme permit une forte tendance sportive dans l’ancienne Cité Royale, de nombreuses disciplines y étant représentées (athlétisme, natation, basketball, etc.).

« S’il n’y avait pas eu cette fusion, l’Olympique d’Étampes ne serait pas né et n’aurait pas permis une synergie qui a rassemblé tout le monde, pour le plus grand bien. Nous avons fait un vrai club qui a reçu des titres régionaux dans plusieurs disciplines. Tout cela grâce à cette union, hélas due à des événements étrangers que nous ne pouvons que déplorer. J’ai donc fait du basket, du culturisme… Puis un jour, une course fut organisée. Ça m’a plu, j’ai pris le départ et j’ai fini 2^ème  derrière le leader local. Nous avons ensuite créé une équipe de Cross-Country et nous avons participé à de nombreux championnats inter-régionaux. »

En parallèle, Daniel Rebiffé a également pris part à l’entraînement de l’équipe féminine de basket de la commune, et a aussi joué un rôle dans la troupe de Jazz Symphonique Pol Roger entre 1943 et 1945.

« Un jour, nous avons rencontré en match par équipe la Garde Républicaine de Paris, j’ai donc eu la chance de rencontrer leurs meilleurs coureurs et je les ai battus. L’entraîneur est ainsi venu me trouver et m’a proposé d’intégrer la Garde Républicaine. J’avais 19 ans à l’époque. J’ai accepté et j’y ai passé quelques années. J’ai ensuite été remarqué avec quelques-uns de mes co-équipiers pour porter le flambeau olympique, de Genève au Luxembourg. »

Du 25 au 27 juillet 1948, le cortège de 25 coureurs s’est relayé pour porter la flamme olympique, escorté de 2 motards à l’avant et à l’arrière, de deux autocars, ainsi qu’un représentant du comité olympique anglais.

« Tous les 3 – 4 km, nous nous relayions pour transporter ce flambeau. Nous avons traversé tout un tas de régions où nous étions magnifiquement reçus. Lorsque nous arrivions dans une ville, c’était généralement les sportifs locaux qui portaient la flamme durant le parcours et nous récupérions le flambeau à la sortie des communes. Pendant 3 jours et 3 nuits, chacun d’entre nous a couru entre 50 et 60 km, dans des conditions très difficiles puisque, la Fédération n’ayant pas assez d’argent, nous n’avions reçu aucun matériel. Puis, lorsque nous avons remis la flamme aux luxembourgeois, nous sommes chacun repartis avec l’un des flambeaux offerts par le comité anglais ».

Daniel Rebiffé est à ce jour le seul survivant de cette équipe française de 25 relayeurs et garde précieusement ce flambeau olympique. Toujours prêt à faire vivre la mémoire de ses anciens collègues et à transmettre son histoire, il est intervenu à plusieurs reprises auprès de la jeune génération pour perpétuer le Devoir de Mémoire et promouvoir le sport.

« Lorsqu’on m’a demandé ce que je pouvais conseiller aux jeunes, j’ai répondu : faire du sport, quel qu’il soit, sans penser à l’argent. Si l’argent vient après, tant mieux, mais faire du sport avant tout pour se sublimer, pour avoir un but. C’est extraordinaire. Ça fait du bien ».

C’est avec un immense plaisir que Daniel Rebiffé a appris le passage de la flamme olympique à Étampes, le 22 juillet 2024.

« Quand j’ai vu ça, je me suis dit : est-ce que je vais avoir la chance de vivre jusque-là ? Et j’ai aussi pensé quel bonheur cela serait de pouvoir réunir, ne serait-ce que quelques instants, la flamme de 2024 et celle de 1948. Que des sportifs de plus de 80 ans d’écart soient rassemblés lors d’un moment symbolique. Jusqu’à présent, tous mes efforts pour essayer de convaincre les organismes officiels, les journaux et les chaines de télévision ont été vains. Personne ne m’a répondu. Il a fallu que quelques personnes aimables se souviennent de moi pour pouvoir en parler. Je ne demande pas à porter la flamme mais j’aurais tellement aimé que les deux flambeaux soient réunis un moment, en particulier dans ma ville natale à Étampes », conclut-il, prêt à venir le 22 juillet prochain.

Le reportage réalisé par le Service Communication de la Ville d’Étampes sur Daniel Rebiffé (ancien Étampois ayant porté la Flamme Olympique en 1948), repris en boucle dans les médias nationaux a permis de faire une autre belle rencontre. Celle de Jennifer Harlay.

Une athlète franco-américaine, originaire de Spring Vallée dans l’Illinois, installée en France depuis 30 ans. Ancienne responsable marketing et communication de Forvia (ex-Faurecia), fleuron français de l’équipement automobile situé dans le Parc Sud-Essor, Jennifer Harlay a conservé un lien très fort avec Étampes, notamment par ses amis qui y résident.

À 17 ans, Jennifer Harlay a porté également la Torche Olympique des Jeux de Los Angeles de 1984 et court toujours par amour du sport et des défis.

En février dernier, elle participait même à la course des Foulées Étampoises pour se remettre en jambe et se préparer à un autre grand rendez-vous : le Marathon pour tous (une épreuve historique dans l’histoire des JO permettant à des milliers d’athlètes de courir sur les traces des champions) qui se déroule à la veille de la clôture des Jeux Olympiques de Paris.

« J’ai été profondément émue et touchée par le récit de Daniel Rebiffé en l’écoutant dans l’émission télévisé « C’est à vous ». Je trouve cet homme admirable. J’ai spontanément contacté la Ville pour soutenir son vœu de porter une nouvelle fois, à l’approche de son 100e anniversaire, la Flamme Olympique lors des Jeux d’été de 2024. Et je suis vraiment heureuse d’apprendre que sa demande ait été entendue par le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 suite aux démarches de la Ville d’Étampes et du Comité de la Flamme Olympique local. On fête cette année les 100 ans des derniers Jeux Olympiques organisés à Paris en 1924, il aurait été dommage qu’on ne lui accorde pas cette faveur ! », déclare-t-elle.

« J’ai aussi contacté la Ville d’Étampes car je serais enchantée de rencontrer Monsieur Rebiffé. Il fait partie de la génération de mes parents qui se souviennent de la Seconde Guerre Mondiale. Mon papa, Joseph Nimee, a en effet combattu, à Bennwihr, dans la Poche de Colmar, contre les troupes SS d’Himmler en 1944. Devant la violence des combats, les combattants de la 36e division d’infanterie dans laquelle il était a été complètement décimée en raison de soldats gravement blessés comme mon père et/ou faits prisonniers ou tués. Mon père a été transporté à Moosburg en Allemagne dans le camp de prisonniers de guerre (Stalag 7A). La 36e division a été ensuite relevée par la 3e division d’infanterie américaine qui a libéré la ville de Bennwihr le 24 décembre. On peut dire que ce fut un beau cadeau de Noël. Je m’y suis rendue plusieurs fois, notamment avec mon père, pour célébrer le jour de sa Libération », relate Jennifer Harlay, membre de l’American Légion, une association d’anciens combattants de l’armée des États-Unis.

Tout comme Daniel Rebiffé, Jennifer Harlay a conservé la Torche Olympique qu’elle a porté à Los Angeles. « C’est un honneur d’avoir porté ce Flambeau pour mon pays. Je me souviens encore de la foule autour qui criait : USA, USA… Je serai là, cet été pour l’ouverture des Jeux et je crierai à mon tour : allez les Bleus, allez les Bleus… », conclut-elle, heureuse d’avoir été invitée par le Comité d’Organisation de la Flamme d’Étampes pour participer aux côtés de Daniel Rebiffé, au passage de la Flamme Olympique sur la commune le 22 juillet prochain.

« Tout est mis en œuvre dans ce sens », déclare Christian Perron, membre du Comité d’Organisation de la Flamme d’Étampes.

Lorsque nous avons annoncé qu’Étampes avait été choisie commune l’une des Villes Relais de la Flamme Olympique, de nombreuses personnes ont contacté la Municipalité pour partager leur joie et leur excitation à l’idée de vivre un tel événement historique dans notre commune.

Cet engouement nous a notamment permis de rencontrer et de partager l’histoire de Daniel Rebiffé, dernier relayeur français du Flambeau Olympique lors des Jeux de Londres en 1948 encore en vie, mais également d’échanger avec Yves Djermag, fils d’Huguette Lienard.

Cette dernière, née en 1930 et décédée en 2015, a vécu à Étampes et a effectué sa scolarité dans notre commune. Période durant laquelle elle est devenue championne universitaire de saut en hauteur et s’est illustrée comme gagnante d’un concours européen de dissertation sur le sport. Ce qui l’a mené à être choisie pour représenter la France au Jeux Olympiques de Londres en 1948.

« En faisant des recherches d’archives sur ma mère, j’ai découvert qu’Étampes serait l’une des Villes Relais de la Flamme Olympique. En apprenant ça, j’ai eu un déclic. Je me suis dit que c’était une belle coïncidence, que c’était peut-être le moment de faire remonter ce souvenir. », explique son fils.

« Je voulais lui faire honneur, car ça a toujours été l’un de ses souvenirs importants, cet épisode étampois de sa vie où, à l’âge de 18 ans, elle a été sélectionnée à la suite d’un concours de dissertation européen et nommée pour représenter la France. 

Sa famille suivait mon grand-père, André Lienard, qui était aviateur, tireur d’élite, membre de la prestigieuse escadrille Les Cigognes et avait, à ce titre été muté à la base d’Étampes – Mondésir pour La défense de Paris en 39. La famille de ma mère a donc résidé durant longtemps au 17, rue Sadi-Carnot, dans le quartier Saint-Pierre.

Ma mère a rapidement été connue dans son collège pour ses dissertations. Elle avait l’écriture très facile et pouvait faire des dissertations de 40 pages à la levée assez facilement. Elle était assez douée pour cela, ce qui l’a mené à participer à un concours européen, organisé par le journal anglais World Sport et France Soir. Elle devait raconter quelque chose sur le thème du sport et a décidé de raconter un événement où elle s’est retrouvée perdante. Elle s’était demandée comment écrire quelque chose d’original, qui sorte des sentiers battus, et du coup elle a décidé d’écrire sur l’échec, plutôt que sur la victoire. Et elle a gagné. Le concours a été très repris par les coupures de presse.

Elle s’est retrouvée invitée à Paris, a été maquillée et habillée par des grandes marques de mode… C’était étonnant pour elle, qui venait d’un milieu assez rigide et modeste. Elle a été très honorée d’être sélectionnée pour représenter la France, parmi une délégation de personnes issues de toute l’Europe, afin de se rendre aux Jeux Olympiques de Londres. C’était une expérience incroyable, dont elle a gardé le souvenir toute sa vie et qui lui a donné l’esprit sportif.

Elle est d’ailleurs devenue championne universitaire de saut en hauteur. Ses nombreuses chutes sur le sable lui ont abimé le dos et elle a développé une sciatique paralysante, ce qui l’a handicapée toute sa vie. Malgré tout, elle avait une force, une volonté, un dynamisme, un enthousiasme… c’était quelqu’un de toujours très positif. Elle a ensuite travaillé dans l’édition. Grâce à sa facilité littéraire, elle avait l’œil pour la relecture et la correction des textes », conclut-il.

Yves Djermag garde précieusement les souvenirs transmis par sa mère, et c’est avec regret qu’il ne pourra assister au passage de la Flamme Olympique à Étampes cet été, étant en déplacement à cette période.

« Je sais qu’elle aussi aurait voulu être là. Ça lui aurait plu, elle aurait été émue. » ajoute-t-il.

Le 22 juillet prochain, la Ville d’Étampes aura une pensée pour Huguette Lienard, une autre habitante qui aura marqué la commune par ses exploits.

Le décompte final commence. Comme le veut la tradition antique, la Flamme Olympique s’embrase ce mardi 16 avril, à partir de 10 h 30, à l’occasion d’une cérémonie dans le sanctuaire d’Olympie en Grèce.

Un moment hautement symbolique avant un long périple à travers la France. L’emblème des Jeux Olympiques parviendra dans l’Hexagone le 8 mai prochain à Marseille pour sillonner 65 départements avant son arrivée à Paris le 26 juillet pour le lancement des Jeux Olympiques 2024.

Une belle et grande épopée qui plongera dans l’Histoire de France, des Grottes de Lascaux aux plages du Débarquement en passant par Carcassonne, le Mont-Saint-Michel ou les Châteaux de la Loire.

À travers cette magnifique exposition du patrimoine français, la Ville d’Étampes se prépare également à son grand jour : le lundi 22 juillet, pour le départ de la Flamme en Essonne. À partir de 8 h 30 depuis l’Espace des associations Louis-Blériot, le cortège effectuera un circuit de 4 km dans la Ville pour mettre en valeur les multiples richesses locales avant de finir son parcours à l’Île de loisirs. Mais cette journée spéciale donne déjà un avant-goût de la grande fête populaire qui nous attend.

Connu sur les réseaux sociaux pour ses actes citoyens et écologiques, Ludovic Franceschet partage l’expérience de son métier d’éboueur afin de sensibiliser à la protection de l’environnement. Il se lance régulièrement des défis afin de lutter contre la pollution, tels que des marches de ramassage de déchets d’Étampes à Paris et de Paris à Marseille.

Cet Étampois a eu l’honneur d’être sélectionné pour porter la Flamme Olympique à Paris, le lundi 15 juillet. La veille, dimanche 14 juillet, alors que le relais de la Flamme s’achevait à l’Hôtel-de-Ville de Paris, Ludovic s’est vu remettre la lanterne contenant la Flamme Olympique pour la transporter jusqu’à la salle Saint-Jean où elle a passé la nuit. La Maire Anne Hidalgo en a profité pour saluer le travail de l’agent de propreté de la Ville de Paris et de ses collègues.

« Je suis encore un peu dans les nuages. C’était vraiment incroyable de pouvoir vivre ce moment, en plus aux côtés de personnes que j’admire : Yannick Noah, Stéphane Bern, Tony Estanguet, Anne Hidalgo… Au moment d’amener la Flamme dans la salle Saint-Jean, j’ai été happé par l’émotion face au violoncelliste qui jouait. Ce n’était pas prévu mais je me suis arrêté devant lui et me suis agenouillé. Quand j’ai posé la lanterne, j’étais ailleurs. Puis, ils m’ont fait monter sur scène pour dire un mot et la première chose qui me soit venue à l’esprit a été de sensibiliser à la propreté de la planète en rappelant aux gens de jeter leurs déchets à la poubelle. C’était vraiment une soirée magique, un feu d’artifice d’émotions. Le lendemain, je portais la Torche, cette fois-ci en tant que relayeur, dans la rue de Belleville. Ça a vraiment été un instant inoubliable et féerique. À la fin, j’étais tellement ému que je suis tombé dans les bras d’inconnus qui m’ont réconforté. Nous avons vécu un grand moment de communion. En portant deux fois la Flamme, j’ai marqué l’histoire des Jeux Olympiques de Paris 2024. », confie-t-il.

Depuis, Ludovic est interviewé par divers médias français et internationaux. Le Maire d’Étampes Franck Marlin lui a également adressé ses félicitations.

Ludovic compte bien être présent à Étampes le 22 juillet pour voir passer la Flamme Olympique dans sa ville et partager ce moment avec les habitants.

•  Pour suivre ses aventures, rendez-vous sur le Twitter, Facebook, Instagram et TikTok : @ludovicf_off

L’air des Jeux Olympiques et Paralympiques plane déjà sur notre Cité royale. Avant le passage de la Flamme à Étampes lundi 22 juillet, le Comité d’Organisation représenté par Christian Perron a convié d’anciens et/ou futurs porteurs de la Flamme pour un moment convivial et en toute intimité dans les salons de l’Hôtel de Ville.

À 99 ans, Daniel Rebiffé qui avait porté la flamme en 1948 avant les Jeux Olympiques de Londres est venu en force, avec son frère Guy, ses fils Sylvain et Fabrice, sa belle-fille Marie-Claire, sa petite-fille Amandine et son conjoint Fabrice ainsi qu’une arrière-petite-fille dénommée Pauline.

Américaine installée dans le Sud-Essonne depuis 30 ans, Jennifer Harlay aux côtés de son mari Philippe a gardé précieusement le flambeau qu’elle avait fièrement arboré pour les JO de 1984 à Los Angeles.

Quant à Laurent Duval, accompagné par sa femme Séverine, le masseur-kiné-ostéopathe qui vit depuis 15 ans à Étampes a toujours en tête les JO d‘hiver d’Albertville et le port de la flamme en Seine-Saint-Denis.

La benjamine de ce quatuor magique n’a pas encore porté la flamme, mais ce n’est plus qu’une question d’heure pour Zhexi Christophe, le prodige du Kung Fu venu avec son père Henri, sa mère Léa et son frère Zhefei, qui transmettra la Flamme à Daniel Rebiffé demain pour le dernier relais à l’Île de loisirs.

Dans une ambiance familiale, Christian Perron a « chaleureusement remercié tous les convives de leur venue. Nous souhaitions pouvoir discuter, échanger, avoir le temps de profiter de ces instants car demain la journée sera probablement très chargée. »

Heureux d’être présent, Daniel Rebiffé qui rêvait de porter à nouveau la flamme est aux anges. Avec sa verve et son œil brillant, il a évoqué ses souvenirs de jeunesse à Étampes : « Je me souviens de la fusion des clubs l’Espérance Étampoise et Les Enfants de Guinette. Il y avait aussi René Jouanny et plein d’autres copains avant mon départ d’Étampes en 1944 pour intégrer la garde Républicaine. C’est d’ailleurs grâce à mes performances dans cette institution que j’ai été sélectionné comme porteur de flamme. Avec 23 autres athlètes, nous nous sommes relayés 2 jours et 2 nuits sans nous arrêter pour relier la frontière franco-suisse au Luxembourg. Il y avait simplement 2 autocars et 2 gendarmes qui nous accompagnaient. On avait fait ça avec 2 bouts de ficelle, quand on voit la machine que c’est devenu aujourd’hui. »

À deux mètres, Laurent et Jennifer discutent tranquillement. « C’est très sympathique de se retrouver là, de voir ces 4 générations rassemblées autour du sport et de ses valeurs. Cela donne un avant-goût, mais j’ai aussi hâte de revoir la flamme demain », affirmait Laurent. Jennifer se disait quant à elle « émue et honorée. On se sent comme une famille, c’est une belle histoire qui se poursuit. Vivement demain pour profiter de nouveaux moments. »

Enfin, Zhexi était aussi « très heureuse d’être présente, de rencontrer tout ce monde, de partager leur expérience et comment ils appréhendent la journée de demain. Je suis un peu stressée et j’espère pouvoir dormir. C’est une chance unique de porter la flamme, et j’enchaînerai avec des démonstrations de Kung-Fu à l’Île de loisirs. Ce sera forcément une journée inoubliable. »

Le lundi 22 juillet, la Ville d’Étampes aura l’honneur de voir passer la Flamme Olympique. Cette dernière traversera effectivement notre Cité Royale, sur un parcours d’environ 4 km, passant devant plusieurs monuments emblématiques : Tour de Guinette, Statue de l’Homme qui brise ses chaînes, théâtre intercommunal, Hôtel Communautaire, Conservatoire de musique, Hôtel Anne-de-Pisseleu, Hôtel-de-Ville, Tribunal…

Le flambeau s’élancera de l’Espace associatif et sportif Louis-Bériot (avenue des Meuniers) à 8 h 15 avant d’arriver à l’Île de Loisirs vers 9 h 15. Pour célébrer cet événement comme il se doit, la Ville d’Étampes, son Comité d’Organisation, l’Île de Loisirs et de nombreux partenaires ont concocté un beau programme d’animations.

En effet, le public est attendu dès 7 h à l’Espace associatif et sportif Louis-Blériot pour découvrir des démonstrations sportives et culturelles par des associations. Puis, quand la Flamme Olympique continuera sa route pour atteindre Massy-Palaiseau, les festivités se poursuivront à l’Île de Loisirs jusqu’en fin de matinée avec des animations par des clubs locaux et des activités de l’UCPA.

• Retrouvez le programme de cette journée en cliquant ici : programme de la journée du 22 juillet.

Le 22 juillet sera une grande fête qui nous permettra de se réunir et de célébrer les valeurs de l’Olympisme et du Sport.

Il faisait encore nuit noire, très tôt en cette matinée du lundi 22 juillet. Les agents municipaux étaient déjà à pied d’œuvre et la salle des fêtes s’allumait pour accueillir les 22 porteurs de la flamme. Le Maire d’Étampes Franck Marlin venait saluer les équipes aux côtés du président de l’Agglomération de l’Étampois-Sud-Essonne Johann Mittelhausser et du Maire de Borna, Olivier Urban, venu tout spécialement d’Allemagne pour suivre cet événement exceptionnel. La benjamine du groupe Zhexi Christophe (17 ans, championne du monde de Kung-Fu scolarisée à Étampes) retrouvait le doyen Daniel Rebiffé, ancien Étampois aujourd’hui âgé de 99 ans, porteur de la flamme en 1948. Tous les ingrédients étaient réunis pour une journée magique. Et ce fut encore mieux que cela !

Après un petit-déjeuner et les premiers contacts, le staff procède au briefing : « Vous allez vivre un moment unique, exceptionnel. Vous portez des valeurs et vous n’êtes pas là par hasard. Nous avons passé beaucoup de temps à étudier vos parcours, vos histoires. Vous représentez les 3 énergies de Paris 2024 : l’énergie du sport, l’énergie des territoires et l’énergie du collectif. Cette flamme est tout un symbole et c’est vous qui la représentez aujourd’hui. ». Stimulés par le discours, les porteurs de la Flamme ont ensuite pris la direction de l’Espace Louis-Blériot.

À l’extérieur du bâtiment, les Étampois étaient déjà en masse dès 7 h pour admirer les démonstrations des associations étampoises Pythagore 91, Entente Gymnique Étampoise, JN Capoeira et Centre Artistique Arabesque.

La tension est encore montée d’un cran à 8 h et l’euphorie a gagné la foule dès l’allumage de la Flamme à 8 h 15 précise.

Et c’était parti pour 4 kilomètres de parcours à travers la Cité royale : du Pont-Saint-Jean au boulevard Henri IV, de la Gare d’Étampes et sa vue sur la Tour de Guinette jusqu’à l’Hôtel de Ville pour revenir par l’avenue de la Libération. Et tout au long, les Étampois, Sud-Essonniens et vacanciers étaient au rendez-vous, acclamant les porteurs tout heureux.

Le monde associatif local toujours aussi dynamique était bien évidemment de la fête, avec des représentants des clubs de rugby, de football, de volley, d’athlétisme, de vélo ou encore des Archers.

De plus en plus compacte et enthousiaste, la foule suivait le cortège jusqu’à l’Île de loisirs.

Avant-dernière relayeuse, Zhexi Christophe prenait le flambeau avec émotion pour la transmettre comme prévu à Daniel Rebiffé, sous une haie d’honneur des escrimeurs du Masque de Fer.

Les derniers mètres avant l’arrivée suscitaient la clameur des spectateurs, en communion pour ce moment magique aux sons de We are the Champions de Queen. En pleurs, Daniel Rebiffé réalisait son rêve. Les anciens porteurs de la Flamme Jennifer Harlay (en 1984 à Los Angeles) et Laurent Duval (en 1992 pour Albertville) étaient à ses côtés, au milieu des officiels et des membres de sa famille. « C’est l’un des plus beaux jours de ma vie. J’ai eu le droit à un accueil magnifique, que ce soit par les équipes de la ville, les organiseurs du passage de la flamme, la foule. Merci à tous ! »

Des Conseillers Municipaux Jeunes aux résidents de l’EHPAD du Petit-Saint-Mars, toutes les générations réunies ont pleinement vécu ce moment rare.

La Flamme repartait aussitôt pour la suite de son périple en Essonne. Mais la fête continuait à l’Île de loisirs jusqu’au début d’après-midi avec de nombreux stands et attractions. Sur place, la Ville d’Étampes, son Comité d’Organisation, l’Île de loisirs et de nombreux partenaires avaient concocté un beau programme d’animations pour poursuivre les célébrations. Démonstrations sportives et culturelles par des associations et structures locales (Entente Gymnique d’Étampes, EPHAD Paul-Fenoll, Étampes Archives, Sapeurs-Pompiers, Pour la Danse, Association Jeunesse Étampoise, Pythagore 91, E3 Escalade, Ateliers Santé, CPN Val-de-Seine, Poney Club, Zhexy Christophe, Comité départemental d’Équitation…), des activités et un food-truck de l’UCPA, ainsi que des initiations au handisport par le Comité Départemental Handisport de l’Essonne étaient notamment au programme. Une journée qui laissera un souvenir indélébile à la commune et aux milliers de spectateurs qui y ont pris part.

Laurent Duval :

Jennifer et Philippe Harlay :

L’équipe de Pythagore 91 :

La Compagnie des Archers d’Étampes :

Le Club de Volley Ball d’Étampes :

Franck Marlin, Maire d’Étampes :

« Nous venons de vivre une journée et des instants historiques. Il y a eu beaucoup d’émotions, symbolisées notamment par Daniel Rebiffé qui incarne merveilleusement cette force collective, cette puissance du sport qui fédère tout le monde. Le dernier passage de relais entre notre jeune championne de Kung-fu et Daniel Rebiffé l’illustre d’ailleurs parfaitement. À l’image des valeurs de l’Olympisme, Étampes est une Ville qui rassemble. Collectivités, associations, bénévoles, agents… Je souhaite exprimer ma plus profonde gratitude pour l’engagement, le professionnalisme et le dévouement de chacun. Merci pour votre disponibilité, votre énergie et votre passion. Cela fait du bien de vivre ensemble de si beaux moments ! »

François Durovray, président du Conseil départemental de l’Essonne :

« Le Département a donné l’impulsion pour le passage de la Flamme en Essonne. C’était une évidence pour nous, car les Jeux Olympiques constituent un moment unique dans une vie. Nous souhaitions que le maximum d’Essonniens puisse y participer. Pour cela, il a fallu l’appui de l’ensemble des territoires, des associations et des Villes. Nous l’avons évidemment trouvé à Étampes. On voit la ferveur, on voit le public en masse et une belle énergie. IL y a quelque chose d’assez unique. Les Jeux Olympiques d’été n’avaient plus eu lieu en France depuis 100 ans. Au-delà de ça, les gens ont aussi besoin de vivre un moment de fraternité, de communion. De se dire simplement qu’ils y étaient, et ça c’est chouette. »

Gérard Hébert, conseiller régional et président du syndicat mixte de l’Île de loisirs :

« Je voudrai remercier Christian Perron du Comité d’organisation qui a fait un travail remarquable. Merci au Maire d’Étampes, à tous les employés municipaux mobilisés depuis des semaines et depuis 4 h ce matin. Il y avait une vraie volonté commune de rendre cette journée inoubliable. Et bien sûr, je voudrai remercier le président du Département François Durovray, qui a permis à Étampes d’être la première Ville de l’Essonne à accueillir ce symbole universel. »

Une journée à jamais gravée dans les mémoires

Ce vendredi 26 juillet, le handisport était mis à l’honneur dans le cadre du Village Olympique et Paralympique organisé cette semaine par la Ville d’Étampes, sous la coordination d’Émilie Vendembilque, chargée de projet au Service Cohésion Sociale.

L’Espace Rosa-Parks a ainsi accueilli le Comité Départemental Handisport de l’Essonne qui proposait de nombreuses activités : cécifoot, lancer assis, basket fauteuil, la boccia…

« Nous sommes ravis de pouvoir intervenir dans les quartiers, nous tournons dans tout le Département au cours de l’été. L’idée c’est de mettre des personnes valides en situation de handicap, physique ou sensoriel, pour qu’ils se rendent compte de ce que peuvent ressentir les personnes en situation de handicap. Puis à la fin, nous organisons un temps d’échange avec les intervenants pour que les jeunes puissent poser des questions. On passe par le sport pour véhiculer un message d’inclusion et de vivre ensemble. », expliquait Thimoté Paon, agent de développement au Comité Départemental Handisport de l’Essonne.

Les enfants pouvaient effectivement découvrir le handisport en participant à des ateliers, mais également à travers le récit de vie des intervenants, dont Bacou Dambakaté, athlète de niveau mondial : « Le Comité fait appel à moi en tant qu’intervenant lorsqu’il y a des animations handisports dans le Département. Je suis aussi athlète et éducateur spécialisé. J’ai eu la chance de représenter deux pays au niveau mondial. La majorité de ma carrière jusqu’en 2020, j’étais en équipe de France avec laquelle j’ai été vice-champion d’Europe de relais 4×100 m. Puis, j’ai participé aux Jeux de Tokyo en 2021 avec l’équipe de Guinée. Pour moi, c’est très important de parler handicap et en tant qu’éducateur, je sais que les enfants comprennent beaucoup plus de choses en passant par la pratique qu’avec de grands discours. Faire des interventions comme celle-ci leur permet de vraiment se rendre compte de ce qu’est le handicap. Ça peut ensuite amener à des questions, à des débats à travers lesquels ils peuvent ressentir les choses plus concrètement. Plus tôt c’est fait, moins ils auront des peurs ou des préjugés plus tard. », a-t-il dit.

Un bel après-midi qui avait pour mot d’ordre l’inclusion et le bien vivre ensemble.

Le Sous-Préfet Benoît Vidon a ainsi profité de cette occasion pour visiter le centre, rencontrer les enfants et participer à des activités, guidé par le directeur de la structure Boubou Niang, et en présence des élus municipaux Marie-Claude Girardeau, Fouad El M’Khanter, Elisabeth Delage, Sana Aabibou, Mehdi Mejeri et Patrick Julisson.

Une visite qui s’est conclue dans la joie et la bonne humeur autour de quelques échanges au ping-pong et d’un match amical de basket fauteuil.

Deux jours après le passage de la Flamme Olympique, l’émotion continue de planer sur notre Cité Royale.

Les souvenirs de cette journée persistent, tant d’éléments qui ont contribué à créer ce tableau à jamais gravée dans l’Histoire d’Étampes : le frisson qui a traversé la foule au moment où la Flamme s’est allumée, les cris des spectateurs accompagnant les Éclaireurs, l’énergie qui montait au fur et à mesure que la Flamme traversait les rues et enfin, un final spectaculaire à l’Île de Loisirs.

Ce fut une belle consécration de tous les efforts, toutes les bonnes ondes mises en commun pour la réussite de cette journée. Ce fut également la réalisation d’un rêve pour tous les porteurs de la Flamme, particulièrement celui de Daniel Rebiffé.

L’homme de 99 ans s’est laissé aller à l’émotion au bout de ce parcours, remerciant la Ville d’Étampes et le COJO (Comité d’Organisation des Jeux Olympiques) pour lui avoir permis d’exaucer son souhait de porter la Flambeau Olympique, 76 ans après avoir participé à son relais lors des Jeux Olympiques de Londres de 1948.

« C’était un honneur de pouvoir accueillir cet enfant d’Étampes, ce survivant des bombardements, et de pouvoir vivre avec lui ce moment inoubliable. Étampes, Ville de mémoire, est reconnaissante d’avoir pu réunir et toucher un aussi large public. Cet événement national fait à présent partie de notre Histoire, et nous le chérirons à jamais. », a déclaré le Maire Franck Marlin.

Depuis son inauguration le 26 juillet dernier, la zone de célébration de l’Île de loisirs d’Étampes a vu défiler de nombreux visiteurs et personnalités.

Plus de 10 000 personnes ont en effet pu profiter de son écran géant et de ses animations gratuites : luge d’été, escalade, pumptrack, escrime, badminton, accrobranche, etc

Tout cela n’aurait pu se réaliser sans le soutien financier de la Région Île-de-France et de la Préfecture de Région. Le Préfet de Région et de Paris Marc Guillaume, la Préfète de l’Essonne Frédérique Camilleri, ainsi que le Sous-Préfet de l’arrondissement d’Étampes Benoît Vidon, ont ainsi visité les lieux au cours des dernières semaines.

Ce samedi 10 août, ce fut Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France, qui est venue découvrir le site.

Elle fut accueillie sur place par Gérard Hébert, conseiller régional et président de l’Île de Loisirs d’Étampes, par le Sous-Préfet Benoît Vidon, par le Maire de Saint-Hilaire Stéphane Demeulemeester, et par les élus locaux Marie-Claude Girardeau, Elisabeth Delage, Françoise Pybot, Sabah Aïd, Claude Masure et Joël Nolleau.

Au cours de cet après-midi, la présidente de la Région Île-de-France a fait le tour des infrastructures, a pris le temps d’échanger avec les visiteurs et le staff, s’est essayée au handisport et a admiré un prestation de Breakdance. Très satisfaite de sa visite, elle a également été charmée par le cadre naturel de l’Île de Loisirs, poumon vert du Sud-Essonne.

« Je suis très heureux que Valérie Pécresse ait répondu à mon invitation et nous ait honoré de sa visite aujourd’hui. Sans son soutien et celui de la Région, cette zone de loisirs n’aurait pu naître et connaître un tel succès. Une popularité également possible grâce à l’UCPA et sesbénévoles. C’est une fierté de pourvoir offrir cet espace de convivialité et de fête aux habitants du Sud-Essonne. Les Jeux Olympiques nous ont rassemblés et cela continuera durant les Jeux Paralympiques. », a déclaré Gérard Hébert.

Ce week-end sonne effectivement les dernières heures des Jeux Olympiques de Paris 2024. Profitez-en donc pour visiter la zone de célébration et vivre ces derniers moments dans une ambiance festive et animée ! Exceptionnellement, la zone fermera à 23 h ce soir.

•  La zone de célébration de l’Île de Loisirs d’Étampes rouvrira ses portes pour les Jeux Paralympiques, du 28 août au 8 septembre, de 14 h 30 à 19 h 30. Venez nombreux !
• Toutes les informations sur le site Internet de l’Île de Loisirs.

Mobilisé sans relâche pour garantir le succès des Jeux Olympiques de Paris 2024, le Préfet de Région et de Paris Marc Guillaume a fait l’honneur de répondre à l’invitation du Conseiller Régional et Président de l’Île de Loisirs Gérard Hébert en venant visiter ce mercredi 7 août la zone de célébration des JO qui se tient depuis le 26 juillet à l’Île de Loisirs.

Un grand comité de personnalités était présent pour l’accueillir :  la Préfète de l’Essonne Frédérique Camilleri, le Sous-Préfet Benoît Vidon, le Conseiller départemental Guy Crosnier, le Président de l’Agglomération de l’Étampois Sud-Essonne Johann Mittelhausser, ainsi que de nombreux élus de la Municipalité dont Elisabeth Delage, adjointe au Maire en charge du Sport et de la Vie Associative.

Guidé par Gérard Hébert, fer de lance de cette opération qui accueille un écran géant pour diffuser les épreuves en direct et de nombreuses activités sportives gratuites dédiées aux enfants et aux adultes, le Préfet de l’Île-de-France a pu apprécier l’organisation de cette zone de célébration qui rencontre depuis son lancement un grand succès.

« On se rend heureux à rendre les gens heureux », a confié le Président de l’Île de Loisirs à son hôte du jour.

« Grâce au travail de la Préfète et de Monsieur Hébert, nous avons une zone de célébration formidable. C’est très grand. Il y a beaucoup d’activités, on voit que les jeunes ont envie d’être là, il y a une fréquentation énorme. Évidemment, cela permet de partager cette joie des Jeux Olympiques. C’est vraiment une grande chance et je remercie beaucoup la Préfète, ainsi que Monsieur Hébert qui s’est battu pour l’installer à Étampes. Le fait d’avoir une quarantaine de zones de célébration dans toute l’Île-de-France, c’est une grande satisfaction car quand nous avons travaillé sur ce projet. Il y a deux ans, nous étions moins nombreux que cela. On est très content, cela permet à beaucoup de franciliens de profiter de ces Jeux à l’Île de Loisirs. Comme le site est très vaste, il y a beaucoup d’activités variées, de la luge d’été au BMX, de l’escrime au football… Il y a vraiment beaucoup de choses. Je pense que c’est l’une des plus grandes zones de célébration Du département », a dit le Préfet Marc Guillaume.

 Le Président de l’Île-de-Loisirs a ensuite accompagné, avec le cortège d’invités, le Préfet de l’Île-de-France à la piscine à vagues.

 « C’est l’une des plus belles piscines d’Île-de-France », a déclaré spontanément la Préfète de l’Essonne, Frédérique Camilleri.

Le Préfet d’Île-de-France a quitté Étampes, ravi de sa visite en serrant chaleureusement la main de Gérard Hébert.

« Je suis particulièrement touché et honoré de la visite de Marc Guillaume et je tiens sincèrement à le remercier d’avoir soutenu financièrement, aux côtés de Valérie Pécresse la Présidente de la Région Île-de-France, l’organisation de cette zone de célébration des JO à Étampes. La capitale du Sud-Essonne peut ainsi, grâce à nos partenaires, vivre avec intensité ces Jeux Olympiques d’été. Un évènement exceptionnel qui ne s’était pas présenté en France depuis 100 ans », rappelle Gérard Hébert. « Je suis vraiment fier et heureux du succès de cette grande fête sportive et populaire. Nous comptabilisons depuis le 26 juillet à ce jour près de 7 000 entrées et dimanche 4 août nous avons battu un record avec 1 132 visiteurs. C’est incroyable. », conclut-il.