Ce mardi 26 novembre, nous célébrons la Sainte-Geneviève, patronne de la Gendarmerie nationale française.
Cette date fait référence au « miracle des Ardents » de 1130 durant lequel la population parisienne se retrouve intoxiquée par le seigle. Cette épidémie prend fin après une procession des reliques de la Sainte.
Celle-ci fut canonisée notamment grâce à un épisode de son histoire datant du siège de Paris en 451 par les Huns. Geneviève, alors âgée de 28 ans, aurait convaincu les habitants de résister et de ne pas céder leur ville à l’envahisseur. C’est ainsi qu’elle devient la sainte patronne de Paris. Depuis le décret de 1962 par le pape Jean XXIII, elle est aussi la sainte patronne des gendarmes, gardiens de la paix.
« En cette Sainte-Geneviève, je tenais à exprimer toute ma reconnaissance et ma considération à l’action exemplaire conduite par ce corps et ses membres, qui font preuve d’un dévouement admirable, d’un engagement permanent et d’un sens du sacrifice qu’ils démontrent afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens. Je souhaite également leur réitérer mon soutien, ainsi qu’à toute mesure susceptible de contribuer à la protection de l’intégrité des membres des forces de l’ordre, aussi bien dans l’exercice de leurs fonctions que dans le cadre de leur vie privée. Depuis trois siècles, la gendarmerie et la Ville d’Étampes collaborent pour garantir l’ordre et le bien-vivre ensemble. En effet, la première Brigade Territoriale (BT) telle que nous la connaissons aujourd’hui est arrivée à Étampes en 1720, une fierté qu’il est important de souligner. », s’est exprimé le Maire d’Étampes Franck Marlin.